Gestion de l’usage d’une nappe par un groupement d’agriculteurs: l’expérience de Bsissi Oued El Akarit en Tunisie

cg.contactA.Frija@cgiar.orgen_US
cg.contributor.centerInternational Center for Agricultural Research in the Dry Areas - ICARDAen_US
cg.contributor.centerThe French Agricultural Research Center for International Development - CIRADen_US
cg.contributor.centerInstitut Supèrieur Agronomique de Chott Mariem - ISA-CMen_US
cg.contributor.centerMontpellier SupAgro - SupAgroen_US
cg.contributor.funderInternational Center for Agricultural Research in the Dry Areas - ICARDAen_US
cg.contributor.projectCommunication and Documentation Information Services (CODIS)en_US
cg.contributor.project-lead-instituteInternational Center for Agricultural Research in the Dry Areas - ICARDAen_US
cg.coverage.countryTNen_US
cg.coverage.regionNorthern Africaen_US
cg.creator.idFrija, Aymen: 0000-0001-8379-9054en_US
cg.issn2421-9037en_US
cg.journalAlternatives Ruralesen_US
cg.subject.agrovoctunisieen_US
cg.volume4en_US
dc.contributorFrija, Aymenen_US
dc.contributorMarlet, Sergeen_US
dc.contributorLeghrissi, Hafsiaen_US
dc.contributorFaysse, Nicolasen_US
dc.creatorFrija, Iheben_US
dc.date.accessioned2017-02-23T13:08:17Z
dc.date.available2017-02-23T13:08:17Z
dc.description.abstractEn Afrique du Nord, de nombreux aquifères sont surexploités, principalement du fait d’une agriculture irriguée intensive. Cependant, les politiques publiques qui ont cherché à réguler cet usage se sont montrées jusqu’à maintenant peu efficaces, du fait du manque de moyens et parce que les agriculteurs les considèrent comme peu légitimes. L’article analyse un cas de gestion collective de l’usage des eaux souterraines par les agriculteurs eux-mêmes, dans le cadre d’une association au Sud de la Tunisie. Dans la zone de Bsissi Oued El Akarit, l’administration multipliait dans les années 1990 les procédures de contrôle des puits, conduisant à de nombreux conflits. En 1999, les agriculteurs et l’administration se sont mis d’accord pour qu’un groupement de développement agricole soit créé spécifiquement pour contrôler les puits et forages dans cette zone. Depuis, le groupement a effectivement réussi à mettre en œuvre un tel contrôle, mais reste toujours fragile financièrement car il ne s’auto-finance pas. Le processus de concertation qui a conduit à ce dispositif de gestion a réussi grâce à : i) la posture de l’administration, à la fois ferme en matière d’application des lois en vigueurs, et ouverte à la concertation avec les agriculteurs, et ii) aux compétences et à la légitimité des leaders du groupement. Cette expérience montre que, dans certains cas, les agriculteurs peuvent devenir partie prenante d’une cogestion des eaux souterraines pour un usage durable de cette ressource.en_US
dc.formatPDFen_US
dc.identifierhttp://alternatives-rurales.org/wp-content/uploads/Numero4/AltRur4ExpBsissiGestionAquifereTunisiePourImp.pdfen_US
dc.identifierhttps://mel.cgiar.org/reporting/downloadmelspace/hash/xcTquhJV/v/4c1ca8edf222cc00eb6505a72837d4eeen_US
dc.identifier.citationIheb Frija, Aymen Frija, Serge Marlet, Hafsia Leghrissi, Nicolas Faysse. (2/10/2016). Gestion de l’usage d’une nappe par un groupement d’agriculteurs: l’expérience de Bsissi Oued El Akarit en Tunisie. Alternatives Rurales, 4, pp. 1-12.en_US
dc.identifier.statusOpen accessen_US
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.11766/5905
dc.languagefren_US
dc.publisherUMR Driduraen_US
dc.rightsCC-BY-NC-4.0en_US
dc.sourceAlternatives Rurales;4,(2016) Pagination 1-12en_US
dc.subjectassociation d’usagers d’eauen_US
dc.subjectgestion participativeen_US
dc.subjectnappe côtièreen_US
dc.titleGestion de l’usage d’une nappe par un groupement d’agriculteurs: l’expérience de Bsissi Oued El Akarit en Tunisieen_US
dc.typeJournal Articleen_US
dcterms.available2016-10-02en_US
dcterms.extent1-12en_US

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